Mais faire vivre les libraires indépendants est important aussi. Veronika décide de mourir Auteur: J’ai adoré ce livre! Véronika ne se morfond pas, elle regarde autour d’elle puis se regarde elle-même.. Dans son roman le plus autobiographique, Paulo Coelho nous fait revivre le rêve transformateur et pacifiste de la génération hippie du début des années S »appuyant sur son expérience personnelle ; l’auteur brésilien a été interné à trois reprises durant ses jeunes années parce que ses parents ne comprenaient pas qu’il souhaite se consacrer à l’écriture ; Paulo Coelho nous incite à réfléchir sur les notions de normalité et de folie, notions, somme toute, extrêmement subjectives et variables en fonction de la société et de l’époque auxquelles les individus appartiennent.
Nom: | livre veronika decide de mourir |
Format: | Fichier D’archive |
Système d’exploitation: | Windows, Mac, Android, iOS |
Licence: | Usage Personnel Seulement |
Taille: | 21.26 MBytes |
Par contre, je n’ai pas aimé les descriptions de traitement ni la scène de masturbation de Veronika devant Eduard. Certains, grâce à leur passage vers la folie, sont devenus sages. Et qu’est-ce que la normalité? Pourtant par la suite, ces personnes atypiques influenceront ses propres choix. On pourrait se poser plein de questions sur le but de la vie mais le style assez léger de Coehlo nous fait passer au-dessus.
N’y avez-vous jamais songé? Véronika, elle, y a pensé, l’a décidé et l’a fait. Toutefois, si elle était parvenue à ses fins, Paulo Coelho n’aurait pu faire le procès de ce que l’on pense, de ce que l’on croit, de ce que l’on désigne et de ce que l’on définit comme étant » la folie « . Dans ce livre, parfaitement » Coelhosien « , l’auteur nous offre une vision poétique et originale et pourquoi pas réaliste? Pas de série ou de livres liés.
Véronika décidé de mourir
Enregistrez-vous pour créer ou modifier une série. Enregistrez-vous pour publier une critique éclair! Je l’ai trouvé plus accessible que l’Alchimiste, plus « roman » et ouvert, mais peut-être ai-je lu trop tôt l’Alchimiste Bref, j’ai trouvé ce livre déjà à-priori intéressant par son contexte, en milieu psychiatrique, et je m’attendais à un livre qui critique les traitements de la psychiatrie et ce qu’on a déjà vu sur le sujet, mais en fait non, pas tellement C’est à nouveau un livre qui fait réfléchir.
Réfléchir sur la vie, sur la mort, et sur ce qu’il y a entre. J’aurais du mal à en parler ainsi, c’est un peu trop éparpillé et titanesque comme réflexion.
Mais c’est un livre qui fait réfléchir sur la vie, oui. Sur notre condition d’être vivants, et sur la signification de ce mot. Sur la norme, la notion de normalité, qu’est-ce? Etre hors de cette norme? Mais si la norme est folle, alors, qui es sain?
Il semble que dans cet asile, personne ne l’est. J’ai trouvé très intéressant l’avis du docteur, et son idée de Vitriol ; de maladie de l’Amertume qui empoisonne l’humanité.
C’est bien sûr un parallèle avec la condition de chaque être humain vivant en société, ou son devenir, plus ou moins proche Mais qu’est-ce qui nous empêche de vivre alors? ,ourir
Qu’est-ce qui provoque cet empoisonnement? J’ai plusieurs fois pensé que j’aurais bien aimé lire cette thèse dont il parle, ce personnage fictif, sur le Vitriol. De sa mère, de son amour, de la haine qu’elle porte à cet amour ; cet amour inconditionnel ; c’est ça, la cause. Une route qu’on ne choisit pas, pour obéir à une pression familiale, sociale, qu’importe.
On s’égare et on perd la vie.
Eduard en est la parfaite illustration. J’ai beaucoup aimé la morale que sous-tend la fin. Bref, un très beau livre qui pousse à se poser des questions. Critique mougir LepenseurfouInscrit le 11 mars30 ans – 11 mars Enfin un bon livre de Coelho!!!!
Un livre superbe qui m’a fait vivre!! Après plusieurs déceptions de Coelho, je commençais à perdre espoir!!! Mais là, j’avoue j’adore, j’aime!!! Là, la folie, ou plutôt l’idée que chacun s’en fait, lui sert d’appui pour étayer son propos. L’histoire de cette jeune fille qui renaît à la vie après avoir voulu se donner la mort nous laisse pantois Oui, notre vie peut changer, et ceci ne tient qu’à nous!!!
Intéressante réflexion également sur notre société, et les stratagèmes développés par chacun pour s’y adapter, ou pour en échapper Personnages enfermés dans un asile, mais finalement plus prisonniers d’eux-mêmes que de cette société dite aliénante Les personnages sont humains, lambdas C’est bien là la force de Paulo Coelho: Peurs, doutes et interrogations qu’il est possible de surpasser, comme le prouve la rédemption de ses personnages Paulo Coelho, au travers de Véronika et de ses « codétenus », nous montre la voie Finalement, comme il est dit dans le livre, « être fou, c’est vouloir ressembler aux autres ».
Les grandes descriptions toujours présentes nous en apprennent plus sur les personnages et n’alourdissent pas du tout l’histoire! Véronika ne se dwcide pas, elle regarde autour d’elle puis se regarde elle-même. Finalement ce livre est loin d’être triste. La fin m’a déçue tout de même. Un peu de réalisme tout de même!! Veronika décide de mourir Auteur: Qui sont mourid fous? Les points de vue se croisent, se confrontent, se contredisent, et le concept de folie, au fil du livre, devient de plus en plus flou.
Critique de QueenieInscrite le 14 mars39 ans – 4 juin Coelho s’attarde une nouvelle fois sur un thème qui touche l’humain au quotidien. Ici la mort, la peur de la mort, la relation aux autres, la fonction thérapeutique de l’art Mais alors quelle fadeur!!
Des personnages insipides et caricaturaux saupoudrés d’une histoire quelque peu mélo Bel ouvrage au parler vrai qui délivre un merveilleux message: Mais cela nous fait énormément réfléchir et relativiser en se disant que dans notre vie on n’est pas trop mal finalement! A mon goût, très bon livre qui mérite d’être lu! Duel entre la vie et la mort Critique de Tyty paris, Inscrite le 1 août32 ans – 31 octobre C’est en regardant la mort en face qu’on se rend compte du sens de la vie.
C’est le destinles rencontresqui nous redonnent espoirun butune estime de soi-même qu’on avait jusqu’alors perdue.
On voudrait tous connaître quelque part cette expérience sans passer par la case hôpital psychiatrique Un livre qui donne l’espoiret qui nous dit que chaque être peut nous donner quelque chose d’exceptionnelque quelqu’un d’autre ne mourif nous donner pareillement.
C’est le dd Paulo Coelho que j’ai lu. Vivre ou ne pas vivre Critique de Christof13Inscrit le 28 juilletveronka ans – 29 juin Intéressante histoire que celle du suicide raté de Veronika qui l’amène dans un hôpital psychiatrique.
On pourrait se poser plein de questions sur le but de la vie mais moufir style assez léger de Decidd nous fait passer au-dessus. Cela ne me dérange pas spécialement car je n’aime pas les histoires « prises mkurir têtes » mais c’est peut-être un peu dommage dans ce cas-ci. De plus tout est assez convenu et aucune surprise ne vient nous troubler au cours de cette lecture.
Un peu déçu donc Légèrement déçue Critique de Dirlandaise Québec, Inscrite le 28 août63 ans – 12 février Moi aussi, c’est mon premier livre de cet auteur et je n’ai pas été emballée. Je m’attendais à plus. L’idée de départ est bonne, un suicide manqué.
Veronika se retrouve à l’hôpital psychiatrique et y fait la rencontre de différents personnages. Ceux-ci ont chacun leur petite histoire qui les a conduits où ils sont. J’ai aimé lire le récit de chacun. Par contre, je n’ai pas aimé les descriptions de traitement ni la scène de masturbation de Veronika devant Eduard. Franchement, j’ai trouvé ça exagéré Était-ce bien nécessaire de nous imposer tous ces détails?
Le subterfuge du docteur Igor, son mensonge au sujet de la faiblesse cardiaque de Veronika, je ne l’ai trouvé pas tellement crédible.
Veronika décide de mourir – Paulo Coelho – Babelio
Je comprends le message sous-jacent que l’auteur a voulu nous livrer mais il y a quelque chose qui me hérisse dans ce livre. Trop de naïveté et de candeur m’énervent et Paulo Coelho lirve m’a pas convaincu en dépit des bonnes intentions initiales. L’auteur a déjà été interné et j’y ai décelé une amertume et un désir de revanche suite à son épreuve.
Bref, pas très bon Beronika ne pas mourir alors que tout va bien? Veronika doit reprendre confiance en elle et chercher à vivre.
La folie libère les esprits Critique de Algo Bruxelles, Inscrite le 6 septembre36 ans – 10 septembre Véronika tente de se suicider. Elle va alors rentrer dans fecide asile où elle découvrira que ce n’est peut-être pas les fous qui ne sont pas dans la norme. J’ai adoré ce roman et je le conseille vivement.
Veronika décide de mourir
Critique de Rosenblum Petit Marcinelle, Inscrite le 22 novembre45 ans – 9 septembre C’est le premier livre de Coelho que je lis. Et je dois avouer que je ne suis pas vraiment convaincue. J’ai trouvé l’histoire intéressante jusqu’à l’arrivée de Véronika dans l’asile.
La suite coule de source, à la moitié du livre, j’avais deviné la fin Ce livre ne m’a pas vraiment fait rêver ni rire ni émue. J’ajouterai que j’ai peut-être mal choisi mon moment pour entamer un tel roman.
Peut-être que, comme pour la poésie selon Jules, tout est une question d’instant et de ressenti personnel. Voulant essayer Paulo Coelho, j’aurais peut-être dû en choisir un autre Eloge de la folie Livrd de Darius Bruxelles, Inscrite le 16 mars- ans – 28 octobre S’il fallait retenir une chose de ce livre, c’est la vision que Paulo Coelho nous donne de Dieu par la bouche d’une patiente de l’hôpital psychiatrique.
Personnellement, je n’avais jamais envisagé l’acte de Dieu chassant Adam et Eve du paradis terrestre sous cet angle. Il serait également accusé de négligence administrative pour avoir placé l’arbre au licre défendu au milieu du jardin et non hors les murs.
De plus, il devrait répondre d’incitation au crime pour avoir sciemment mis l’accent sur cet arbre, un peu comme s’il voulait qu’Adam et Eve s’y frottent Un grand moment d’hilarité et de démonstration des incohérences de la justice Nous sommes tous fous dans un monde de fous